Ce blog reflète une envie de jouer, de lancer des coups de coeur, des coups de blues aussi. Puis - tout passant - voir ce qu'il se passe.
Quoi qu'il en soit, j'aime reconnaître que tout est toujours - et donc déjà - parfait.
Même quand je l'oublie, tout est parfait ; c'est juste que je l'oublie parfois ...
"La plupart de nos tensions et de nos frustrations proviennent de notre besoin irrésistible de jouer le rôle de quelqu'un que nous ne sommes pas"
Dr Hans Selye
De la même façon qu'une montre ne peut pas mesurer et apprécier le présent,
la pensée ~ l'intellect, le mental, l'esprit ~ ne peut pas mesurer et comprendre le sans limite, l'infini.
Notre intelligence humaine, nos facultés de penser et nos sciences mécaniques essaient de comprendre, de mesurer voire de dépasser la vie que nous sommes,
l'indicible mystère qui nous fonde, nous constitue,
englobe nos corps/esprits ...
Et lorsque je m'entête à limiter l'illimité,
je me perds dans les concepts, les croyances.
Je me perds dans des mots ...
Une solution :
ne plus croire les pensées qui trottent et défilent dans la tête ;
les voir
et
- avec bienveillance -
revenir à l'expérience du moment précis,
à la réalité du - et pas à la théorie sur -
à la réalité sensible du moment présent :
juste être.
Simplement présent.
Sans rien à contrer, défendre, gagner, perdre, prouver, etc..
Dans ce royaume invraisemblable on n'aimait pas les sans-logis. On arrête donc celui-là qui osait dormir sous le mur de la résidence royale.
On l'interroge.
" Qui es-tu ? Un chômeur ? Un voleur de vieilles ? "
L'homme répond :
" Un peu plus haut. "
Les gardes s'étonnent. Ils ricanent :
" Comment cela, un peu plus haut ? Que veux-tu dire ? Parle clair.
Serais-tu par hasard un noble en visite chez les pouilleux ? "
L'homme s'obstine :
" Un peu plus haut. "
Les gardes pensent : "C'est un fou. " Ils s'esclaffent :
" Quoi, un ministre ? "
" Un peu plus haut. "
" Je vois, je vois, " dit un gros sergent à moustaches. " Monsieur (vous autres, saluez !) est Sa Majesté en personne. N'est-il pas vrai ? "
" Un peu plus haut. " murmure l'autre imperturbable.
Le capitaine :
" Assez joué. Au-dessus de Sa Majesté, il n'y a que Dieu. L'ignores-tu ? "
" Je suis un peu plus haut que Dieu. "
" Mais plus haut que Dieu, il n'y a rien ! "
L'homme répond :
" En vérité, c'est bien là ce que je suis. Rien. "
Un maître avait un disciple tellement avancé dans la voie qu'il décida de l'adresser à un plus grand maître susceptible d'achever son éducation et lui faire atteindre l'illumination.
Au grand étonnement du disciple, ce maître se révéla être une vieille femme, misérable et malade, ne dispensant aucun enseignement.
Pourtant,
au fond du fond,
elle lui révéla tout en une seule petite phrase :
Ne crois pas que les autres - autrui, qui que ce soit - veuillent que tu les conseilles,
que tu les corriges ou critiques - même soi-disant constructivement -,
que tu les enseignes,
que tu les "guérisses", "répares", "sauves" ou soignes . . . sans leur consentement et demande claire !
Ne crois surtout pas que tu sais mieux qu'eux ce qui est ou serait bon pour eux !
Quelle arrogance/prétention !
Quelle ignorance/illusion !
Et au fond du fond, quelle parfaite INNOCENCE,
le Jeu de la Conscience !
*
* *
Laisse-toi respirer amplement et te détendre
~ corps et esprit ~
Pacifié, patient, serein !
Tu es assez fort pour faire confiance à tes semblables et être disponible . . .
en paix toi-même . . .
Et les accompagner/épauler si telle est la demande
Si tel est l'élan
Le mental - l'intellect, la pensée - ne peut pas vraiment voir la beauté et le mystère de ce que nous appelons la vie.
Le mental tend à coller une étiquette, un label, une opinion sur tout ce qui est vu, entendu et senti.
Je prends comme exemple une balade en forêt :
Dans cette promenade je suis témoin d'une beauté, d'une diversité, d'une vitalité merveilleuse, d'un monde qui dépasse la compréhension. Cependant le mental analyse, compare, commente ; ça parle tout seul, mécaniquement, par habitude. Le penseur promeneur croit, parce qu'il possède des mots - les noms de tels arbres, champignons, fleurs, plantes, oiseaux, racines, etc. - qu'il connait les "choses" nommées.
L'étonnement, l'émerveillement, la curiosité - celle qu'un tout jeune enfant manifeste alors qu'il découvre le monde - l'innocence et la révérence, le frais et pur non-savoir sont voilés par un prétendu savoir. Le prodige de la vie, le mystère de la vie est réduit à un ensemble d'idées, de concepts mémorisés.
Se réveiller ne signifie pas la fin des pensées,
ne veut pas dire le silence du mental.
Se réveiller signifie voir - se rendre compte - que nos pensées ne sont que cela, des pensées à propos de la vie réelle et pas la vie elle-même. Les pensées sont des interprétations d'un mental conditionné par la mémoire.
En observant, en regardant - à neuf - ce qui se présente ET en voyant les étiquettes que l'intellect colle sur tout (les voir au lieu de les croire), se réveiller au profond mystère de la vie, des naissances et des morts, est possible. Oui, se réveiller est jouable . . .
~~ ~~ ~~
Ci-dessous
en forme extra large, l'esprit d' aloha dans sa diversité et douceur :
Mahalo 2 Scott Kiloby 4 his "Reflections of the One Life"
Gagner du temps ?
Perdre son temps ?
Tant d'histoires pour trois fois rien (rien que des mots).
... souvenirs du passé ... maintenant ... rêves du futur ...
Au fond, tu le sais bien, c'est couru et perdu d'avance,
ce temps (celui - fuyant - des aiguilles de la montre) aura ta peau
~~~~~~ . . . ~~~~~~
Doucement,
tendrement,
cesser de courir après ce temps illusoire.
"MAINTENANT"
"l'éternel présent"
est le seul - l'unique - "temps" dans lequel la vie se vit,
dans lequel nous sommes.
Puisses-tu t'y perdre
- ou t'y retrouver -
simplement.
Nous sommes ce présent...
~~~~~~ . . . ~~~~~~
À la bonne heure !
ce lama là - Guendun Rinpoche - en parle tranquillement :
Le bonheur reste introuvable que l'on fasse de grands efforts ou que l'on exerce sa volonté, car il est déjà présent, dans une relaxation simple et abandonnée. Ne vous efforcez pas : il n'y a rien à faire, ni à harmoniser. Ce qui se présente momentanément au sein du corps-esprit est sans véritable importance et sans même la moindre réalité. À quoi bon vous identifier et vous attacher à ceci, l'évaluer, ou vous évaluer vous-même ? Il vaut mieux simplement laisser la totalité du jeu se jouer d'elle-même, s'élever et retomber telle des vagues, sans intervenir ni pour modifier, ni pour manipuler. Ensuite, voir comment tout s'évanouit puis réapparaît, comme par magie et de façon répétée, temps sans fin. Seule votre quête de bonheur vous empêche de le voir. Elle a tout de la chasse que vous donneriez à un arc-en-ciel aux couleurs vives que jamais vous ne pourrez attraper, ou encore du chien qui court après sa propre queue. Bien que la paix et le bonheur n'ont aucune existence en tant qu'objets ou endroits, ils sont disponibles en permanence et vous accompagnent à chaque instant. Ne croyez pas un instant que soient réelles les expériences positives ou négatives. Leur nature est aussi éphémère, que celle du temps qu'il fait aujourd'hui, ou que celle des arcs-en-ciel au dessus de nos têtes. À vouloir saisir l'insaisissable, vous vous épuisez en vain. Dès que vous ouvrez et relaxez le poing serré de l'avidité, l'espace infini est là - ouvert, accueillant et réconfortant. Faîtes usage de cet espace, cette liberté et aise naturelle. Rien à faire, ni à harmoniser, rien à forcer, rien à désirer et rien ne manque. Merveilleux !
Sourire à la peur :
un instant à la fois ;
un pas après l'autre ;
un
silence,
une parole,
un geste à la fois.
Faire confiance, se détendre, faire la paix ...
Dit différemment :
Ne pas
succomber à la peur, à l'agitation et à l'agressivité ambiante
...
Faire la paix
- y compris avec la guerre, avec toute violence
-
soit
ne pas ajouter de la confusion à la confusion,
ne pas
ajouter de l'agitation à l'agitation,
ne pas ajouter de l'agressivité à
l'agressivité,
ne pas ajouter de la violence à la violence ...
La
peur a peur et fait peur ...
Puissions-nous l'accueillir
bravement !
" Tous les êtres du monde ne font qu'un.
Ce qu'on trouve beau est considéré comme miraculeux et merveilleux,
ce qu'on trouve laid est considéré comme puant et pourri.
La vérité est que la puanteur et la putréfaction se métamorphosent en miracles et en merveilles,
et que le miracle et le merveilleux se métamorphosent en puanteur et en putréfaction "
Tchouang-tseu
Par définition, la pensée - le mental - distingue, isole, sépare en catégories ce qui, en essence ou par nature, est Un.
Quand la grâce de voir ce mécanisme à l'œuvre est là, c'est juste ... merveilleux !
Craquant !
Derrière les masques - les personnalités, les rôles, les statuts et autres formes et déguisements - c'est comme si la Vie jouait, se perdait et se reconnaissait en tout ...
Joies et peines confondues.
Réunion ...
" Tous les êtres du monde ne font qu'un ... "
La Vie Une à nouveau Regard neuf sur Soi-même. Hors du temps et des frontières Tout l'univers est ici maintenant. À la bonne heure ! Dépassant toute nostalgie et envie Aurore riante ... Vie resplendissante ... Le bonheur ...
En soi et en terme de distance
la danse ne mène nulle part.
Dans sa manifestation la plus spontanée, la danse est expression de vie
sans autre raison d'être que cette expression dans le moment présent. La danse est alors force de vie en mouvement ; sans but, destination ou objectif. Juste mouvement pour le plaisir du mouvement. Pur élan vital.
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Sens par toi-même combien il serait affligeant de danser uniquement afin d'arriver au bout d'une danse.
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En Inde la danse est une métaphore souvent utilisée pour représenter la vie ou la manière dont elle peut être vécue. Lîlâ est le nom avec lequel on désigne alors la danse de la Vie (ou le jeu/sport divin).
Dans cette perspective non duelle, la Vie-Une connaît (naît avec) la musique et mène le bal ; Elle constitue, imprègne, englobe, anime et met en mouvement tous les danseurs : des cellules de nos corps à la terre tournant autour du soleil ; des feuilles des arbres emportées par le vent aux myriades de galaxies fonçant à toute vitesse dans l'espace ; de l'infiniment petite particule à l'infiniment grande onde ...
( Depuis mon enfance la notion d'infini est simplement inconcevable pour mon intelligence mentale si limitée. De quoi "perdre" la tête et gagner en étonnement/émerveillement ! )
Cette vie qui foisonne, palpite et vibre en tout et partout n'aurait pas d'autre but que de foisonner, palpiter et vibrer en tout et partout. Sans limite ni fin : les pas, le chemin et le but font un ; sont un.
En-deçà, au cœur et au-delà de toutes considérations et limitations dualistes, la Vie nous convierait, danseurs - ou dansés - humains, à nous abandonner à Elle, en Elle, à nous confier à Elle et en Elle ... Hors des notions de la pensée, de l'espace limité et du temps chronologique. Toujours et encore et partout ici et maintenant.
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À 600 ans de différence Rumi puis T.S. Elliot se font poètes de cette intemporelle présence, poètes de l'univers :
" Danse !
Lorsque tu es brisé et sans défense, danse.
Si tu as arraché tes bandages, danse.
Au beau milieu du combat, danse.
Danse dans ton sang.
Danse quand tu es parfaitement libre. "
" Là ou passé et avenir sont rassemblés.
Ni mouvement depuis, ni mouvement vers,
Ni ascension, ni déclin.
Sans le point, le point immobile,
Il n'y aurait pas de danse,
Et il n'y a que la danse. "
Et en point d'orgue, ce magnifique - oh combien ! - duo :
Notre nature essentielle, notre essence - ce que vraiment nous sommes - n'est pas exprimable par des paroles.
Ce que nous sommes n'est pas réductible ; ni à un nom, ni à une forme, ni à une chose ; à rien. C'est.
Irréductible
La forme que nous pensons être provient de ce Cela (C'est), est constituée de cela ; est soutenue et entourée, immergée et englobée, faite de cela ; et défaite dans cela.
Nous ne sommes ni nos pensées, ni nos corps,
nous sommes Cela ... Cet~ineffable~mystère ... apparaissant sous les traits d'une personne.
Notre nature essentielle, notre essence - ce que vraiment nous sommes - est silencieuse, spacieuse, vacante.
À la fois si évidente, incontestable, et si largement ignorée, encombrée ou - apparemment - obscurcie,
" Le temps est précieux ; sachons en jouir tel qu'il est, et gardons-nous par notre impatience d'en troubler le paisible cours. Eh ! qu'il passe et qu'il soit heureux ! " Jean-Jacques Rousseau
Être
Présence
Tout est
Partout ici
Tel que c'est
Toujours maintenant
Être
Vie
Présence
!?!
Tao
Insondable Mystère que ces mots, les mots, ne peuvent qu'effleurer du bout des lettres ...
:-) Beau et bon jour à ma blonde ... ta lumineuse, douce et tendre chaleur est pro fon dé ment appréciée !
Tu l'as probablement remarqué de nombreuses fois :
les mots - la parole, la pensée, les concepts - divisent, isolent, séparent. Ce peut être leur force et utilité ET leur faiblesse et cause de souffrance.
Les mots contribuent à créer un pseudo-problème lorsqu'ils divisent, isolent et séparent ce qui par nature est vivant, un et indivisible. Par exemple, en divisant la polarité "gauche droite" et en en faisant deux opposés antagonistes - dont l'un serait meilleur, ou plus utile, ou moins quoi que ce soit que l'autre - on oublie qu'aucun opposé ne peut exister par lui-même. "Dessus" ne peut pas exister sans "dessous", le bien ne peut pas exister sans le mal, le chaud sans le froid, etc..
. . .
"Un Cours en miracles" - pavé contemporain de plus de 1000 pages au vocabulaire judéo-chrétien délibérément revisité (ouf !!!) - signale que
"je ne suis affecté que par mes pensées"
"je ne peux être blessé que par mes pensées"
et dans mon expérience, c'est bien ce que je remarque :
mon état émotionnel est tributaire de ce que je pense - et crois - plus ou moins consciemment.
Epictète il y a près de 2000 ans, Montaigne et Shakespeare entre autres dans un passé plus récent, prétendaient aussi que
ce ne sont pas les choses, événements et faits en soi qui nous dérangent ou nous font mal mais ce qu'on en pense,
les opinions que l'on s'en fait, les histoires que l'on (se) raconte à leur propos.
. . .
L'histoire la plus insensée - et la plus répandue aussi, au point qu'elle est rarement remise en question - est la croyance en l'existence d'un soi autonome, séparé, et ... déficient.
. . .
"Penseur compulsif moi-même" (oh le beau label, produit précisément par la pensée !)
- ça pense tout seul et presque tout le temps dans ma tête ET ça se soigne - sur le modèle des "Alcooliques Anonymes" j'imagine d'autres penseurs compulsifs (ce pourrait être l'immense immense majorité des humains !) prenant conscience de leur manie mentale et se resituant en "Penseurs Anonymes" :
Un jour à la fois,
voire plus précisément un instant à la fois,
l'intéressé serait conscient de sa tendance habituelle (programmée depuis la petite enfance) à fuir dans le passé, ou à partir dans le futur, ou encore à se perdre dans la résistance à ce qui est le moment-même, le présent, ici maintenant.
Un jour à la fois, un moment à la fois,
il renouvellerait son intention de ne pas sombrer corps et biens dans cette folle compulsion, mais plutôt - et avec douceur - à la remarquer, en prendre conscience, la voir à l'oeuvre.
Et, joueusement, se verrait déterminé à ne plus prendre si au sérieux lesdites pensées ...
"Brillant", "confus", "intègre", "fort", "vulnérable", "doux dingue", "trouillard archétypal", "aimant jouer", "marginal intégré", "sauvage", "cygne parmi des mouettes", "en retrait", "et caetera, etc. ... ",
voilà des étiquettes - soi-disant identités et histoires à dormir debout - qui me sont familières.
Étiquettes auto collantes !
Et ~ passagères comme des nuages, des ombres, des reflets ~ sans réelle substance !
Juste des paroles, des pensées qui vont et viennent et qui sont vues en tant que telles. Et parfois pas, et alors là : aïe, ça peut - apparemment - faire mal !
Étiquettes - histoires, labels, pseudo identités - qui n'affectent en rien l'Être que je suis ; que vous êtes, que nous sommes, que tout est ; Un sans second.
Indicible et indéniable Présence
Nous sommes. En cet exact moment, ici, ce qui lit ces lignes ! Inconcevable et pourtant ... . Nous sommes
. . .
La Vie - Conscience, Être, Tao, X, Quel-que-soit-le-nom-avec-lequel-on-L'étiquette - bref la Vie dont on peut parler n'est pas la Vie essentielle.
Et tout parle d'Elle ...
Comprenne qui peut !
. . .
En moins d'une minute, le clip ci-dessous caricature une trajectoire humaine criante de ... sérieux ; et xbox, microsoftiquement, nous invite à jouer davantage. Impressionnante réduction !
Attention ! Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse. L'OMB (Organisation Mondiale du Bien-Etre) prévoit que des milliards d'individus seront contaminés dans les dix ans à venir.
Voici les symptômes de cette terrible maladie :
1 - Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d'agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.
2 - Manque total d'intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s'intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
3 - Perte complète de la capacité à se faire du souci (ceci représente l'un des symptômes les plus graves)
4 - Plaisir constant à apprécier les choses et les êtres tels qu'ils sont, ce qui entraîne la disparition de l'habitude de vouloir changer les autres.
5 - Désir intense de se transformer soi-même pour gérer positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie matérielle et son environnement afin de développer sans cesse ses potentiels de santé, de créativité et d'amour.
6 - Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit "merci" et donne un sentiment d'unité et d'harmonie avec tout ce qui vit.
7 - Ouverture sans cesse croissante à l'esprit d'enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.
8 - Moments de plus en plus fréquents de communication consciente avec son âme, ce qui donne un sentiment très agréable de plénitude et de bonheur.
9 - Plaisir de se comporter en guérisseur qui apporte joie et lumière plutôt qu'en critique ou en indifférent
10 - Capacité à vivre seul, en couple, en famille et en société dans la fluidité et l'égalité, sans jouer ni les victimes, ni les bourreaux.
11 - Sentiment de se sentir responsable et heureux d'offrir au monde ses rêves d'un futur abondant, harmonieux et pacifique.
12 - Acceptation totale de sa présence sur terre et volonté de choisir à chaque instant, le beau, le bon, le vrai et le vivant.
Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, la dépendance, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes. Cette maladie est extrêmement contagieuse ! Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes mais ne peuvent s'opposer à la progression inéluctable du mal. Aucun vaccin anti-bonheur n'existe. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte de la peur de mourir, qui est l'un des piliers centraux des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire, tels des grèves de l'esprit belliqueux et du besoin d'avoir raison, rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, des cercles de partage et de guérison, des crises de fou-rire et des séances de défoulement émotionnel collectives.
Alors, je vous en prie, faites suivre, afin que tout le monde soit prévenu et prenne ses dispositions car cette épidémie risque de gagner la planète entière en très peu de temps
. . .
Ci-dessous, sans parole, de merveilleux êtres (-: dont magnifique fille aimée :-) semblent montrer, à leur façon, quelques symptômes de ladite maladie :
:-) ***** Merci à la douce et tendre contaminée qui m'a adressé cet avis d'épidémie. Merci du fond du coeur d'accueillir simplement le "trouillard archétypal" qui, épisodiquement, apparaît.