Nous avons des pensées,
nous ne sommes pas les pensées
=
nous ne sommes pas la voix qui parle dans la tête.
nous ne
sommes pas ce que nous pensons et croyons être.
Une invitation :
Tourner ~ à 180 degrés ~ l'attention vers CE qui
perçoit lesdites pensées,
vers Soi,
la Conscience,
l' Espace (écran écrin insaisissable)
en
dessus du torse.
C'est l'invitation de la VST de Douglas Harding, approche "incompréhensible, farfelue, enfantine, trop simple" jusqu'à ce que j'accepte de regarder par moi-même, en moi-même. Pas en lisant ni en pensant !
En r e g a r d a n t .
Ou encore :
voir les pensées apparaître et disparaître . .
.
voir/sentir les émotions/sensations apparaître et disparaître . .
.
Mettre et remettre en question toute pensée stressante et la retourner :
•
vérifier si elle (la pensée stressante) est absolument vraie
• • vérifier son effet lorsqu'elle est
crue
• • • puis ce qui demeure lorsqu'elle n'est plus crue
• • • • la
retourner
Cette vérification des pensées est le Travail de Byron Katie.
Voici ce qu'elle en a dit :
"
Lorsque j’ai commencé à vivre mes retournements,
j’ai remarqué que j’étais
tout ce que je disais de vous.
Vous étiez tout simplement ma
projection.
Maintenant,
au lieu d’essayer de changer le monde autour
de moi (cela n’a pas marché, mais seulement pendant 43 ans),
je peux mettre
mes pensées par écrit, les questionner, les retourner, et trouver que je suis la
même chose que ce que je pensais de vous. "
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Dans mon expérience ~ zenzero ~
croire les pensées agit comme un voile sur ce qui, simplement, est.
Parlant de quelqu'un,
dès que je dis "C'est un
menteur"
je me conduis en menteur !
Dès que je dis "Tu es
injuste, ou arrogant"
je me conduis injustement, ou de façon arrogante !
Dès que je dis "Il ou elle
devrait se taire"
je gagnerais à me taire !
Dès que je dis
"Ce
sont des ignorants, ils ne savent pas ce qu'ils disent, ... et patati et patata
..."
je me conduis en ignorant,
je ne sais pas ce que je dis . .
.
Bref,
tout ce que je peux dire de "
qui que ce soit"
("toi ou
vous, il ou lui, elle, nous, vous, eux ou ils ou elles")
en dit long et large sur moi,
parle de moi-je.
Eh oui, les histoires que je
raconte à propos de
qui/quoi que ce soit sont mes histoires.
En disent moins sur
qui/quoi que ce soit que sur moi.
Bref ...
des pensées ~ des plus tragicomiques aux plus nobles ~ me viennent à l'esprit, et s'en vont.
Croire les histoires qu'elles racontent, croire les pensées, agit comme un film.
Voilant la
simplicité de ce qui est.
De toute évidence, il n'y a rien de mal à faire des histoires,
à se faire des films. Ni bien.
C' ...
Quoi qu'on en pense.
À voir ! Où pas ...