lundi 26 septembre 2011

Marcher sur des tessons de bouteilles

Samedi, il y a deux jours, en toute discrétion :

après avoir bien regardé sur quoi je prévois poser mes pieds nus
- et c'est formidablement impressionnant -
je marche sur un chemin - long de 4,5 m. - de bris de verre.

J'entends nettement les craquements des tessons qui se tassent sous mes presque 80 kilos,
ne sens pas la moindre aspérité, coupure ou douleur sous mes pieds.

Ces derniers sont complètement indemnes, tout doux

...

À quoi cela peut-il servir ?
Comment est-ce possible ?

Je n'en sais rien !
C'est possible
et c'est fait - les yeux grand ouverts et sans aucun artifice, truc ou état de conscience modifié -
et je n'en sais pas davantage.

L'étonnement demeure total ...


Clin d'oeil fraternel et grand MERCI à Séverin Marie 

mercredi 21 septembre 2011

Le présent continu

À l'instant-même où je n'accorde plus de crédit aux jugements, critiques, plaintes et autres pensées stressantes qui passent par la tête,
l'instant présent redevient un cadeau, une joie.

Un moment de présence à ce qui - simplement - est.   Tel que c'est.


Lorsque je ne crois plus "mes" pensées stressantes, j'expérimente à nouveau - à neuf - la paix vibrante, la joie tranquille ;
la sérénité, au-delà de toute compréhension intellectuelle.

Rien à appréhender
soit
rien à craindre et à rejeter,
rien à désirer et à saisir,
rien à faire et à ne pas faire.

Je suis.  Tu es.  La Vie est.  Nous sommes

samedi 3 septembre 2011

Séparable ??? * !

Alors que tu lis ces mots, tu as l'opportunité de te rappeler une simple évidence :

  •  il t'est impossible d'être séparé, ne serait-ce qu'un instant, de la vie.

C'est juste impossible.

Tu peux penser être séparé,
tu peux te croire séparé,
tu peux te sentir séparé,
tu peux te dire séparé,

tu ne peux juste pas l'être.

*  Impossible.
    Tant pis pour Napoléon !