jeudi 28 avril 2011

dimanche 24 avril 2011

Plus ou moins aimant


Connaître l'extase - divine, impensable - de la communion,
et la souffrance - incompréhensible - de la séparation,
n'est-ce pas le lot des amants ?
Des aimants humains ?
Des humains ?

Au paroxysme du plaisir comme au paroxysme de la douleur,
le corps se tend et se tord, à fond ;
la persona - le masque - se déforme ... crie et invoque Dieu, Souffle de vie ;

les extrêmes se rejoignent,
la boucle est bouclée,
le mystère entier ;

zenzero - ou qui que ce soit - perdu.


Rien de personnel,
juste la vie,
être ...



;-)  Clin d'oeil qui se veut complice à une bombe amie aux ressources de compassion, d'expression et de sensibilité foudroyantes 

vendredi 15 avril 2011

Domaine féminin privé (de raison !) ou cliché macho doux dingue, ou les deux ?

"Ne te bats jamais avec un cochon.
Vous vous roulez tous deux dans la boue et le cochon adore ça"

Bien que me trouvant peu concerné dans la pratique, ce fort ancien dicton taoïste me parlait bien.
Puis, c'est ma fille qui m'a mis la puce à l'oreille pour me forger ma propre version - fort utile - de cette sage recommandation.

Alors que je lui faisais part de ma perplexité face au caractère récurrent - soudain, quoique au cycle étonnamment régulier - de dérapages impressionnants d'une amoureuse, ma fille a, avec le plus grand naturel, mis ces pertes de contrôle sur le compte des règles (menstrues); une simple évidence selon elle.

Le compte - environ toutes les trois/quatre semaines - était effectivement bon ;
le conte - le scénario tel que je l'imagine dissimulé dans la tête de ma partenaire - le suivant :
"Quoi que tu fasses et ne fasses pas, peu importe ce que tu dis et/ou ne dis pas, je vais te faire une scène d'enfer ... "

Me la jouant sportif et philosophe tout-terrain, j'ai ainsi eu l'opportunité de m'entraîner intensivement dans l'art dansant d'un aïkido relationnel ; ai ainsi eu la possibilité de jouer du mieux que je peux ma   folle/sage  part taoïste dans la dinguerie  ambiante.
Me rappelant encore et encore :

"N'argumente jamais avec une femme avant et pendant ses règles.
La raison n'ayant aucune place, sans aucune exception tu auras tort." 

dimanche 10 avril 2011

Comme un film

Tout est la vie.
Tout - sans la moindre exception - est la vie,
forme et manifestation de vie, en vie, dans la vie.

Du point de vue - aveuglement ? compréhension ?  - de zenzero,
ce 'tout' se déroule comme un film.
Comme un film qui serait écrit par la vie,
produit par la vie,
réalisé par la vie,
joué par la vie,
monté par la vie,
distribué par la vie,
vu par la vie.
Commenté, apprécié, critiqué, loué, démoli, ignoré, adoré par la vie elle-même.

Tout - sans aucune exception - est la vie,
la naissance et la mort par exemple,
les accords et désaccords comme autre exemple,
les guerres et la paix,
tout et son complémentaire, rien du tout.

La pensée peine à concevoir et à saisir tout cela, cette unité. Comment le pourrait-elle ?
Comment la pensée pourrait-elle concevoir et saisir le tout,
concevoir et saisir la vie dont elle est une partie, une infime part ?

Peine perdue ?  Non !
Rien ne se perd, rien ne se crée non plus, tout se transforme, c'est la vie une.
Démesurée, sans second, juste la vie ...

Pssssss :
un mot n'étant qu'un mot, qu'un symbole, un panneau indicateur,
si l'indication 'être' te convient mieux que 'vie', il n'y a pas de contre-indication,
ça joue aussi,

ça se joue en cet instant-même ...

lundi 4 avril 2011

La paix qui dépasse l'entendement ...

La réalisation qu'en réalité il n'y a aucun problème.
Il y a uniquement ce qui est.